Lire : l’HEBDOLETTRE n°81 – 05 avril 2017
Edito de l’HebdoLettre n°81
Renforcer la responsabilité des parents d’élèves dans la gouvernance des établissements scolaires à l’étranger est un point commun du programme de plusieurs candidats à la présidentielle.
Lors du dernier conseil d’administration de l’AEFE, Agence pour l’enseignement français à l’étranger, Jean-Hervé Fraslin, conseiller consulaire pour Madagascar, a relayé le souhait des élus de mettre en place une concertation préalable à l’élaboration des budgets dans les établissements en gestion directe (EGD).
Pour y parvenir, j’avais obtenu la création d’une commission permanente au lycée CDG de Londres en mai 2010. Celle-ci permettait de renforcer la concertation en amont, de débattre des projets et de faire des choix stratégiques et budgétaires en accord avec l’ensemble des interlocuteurs (lire “Evolution de l’EGD à Londres, Yes we can !” du 18 mai 2010).
Lors du CA de l’AEFE du 19/5/2010, j’avais demandé à l’Agence d’officialiser et de généraliser les commissions permanentes, d’autant que ce type de commission existe dans tous les établissements secondaires en France (EPLE). Les représentants des parents doivent pouvoir agir en amont sur toute décision susceptible de faire évoluer le budget et les frais de scolarité de leur établissement !
Hélas, suite à l’arrivée des socialistes au pouvoir en 2012, la circulaire relative à “l’organisation et le fonctionnement des instances des établissements d’enseignement français à l’étranger relevant de l’AEFE” du 6/7/12 n’a pas prévu de commission permanente.
A Londres, le proviseur a été contraint de supprimer ce dispositif (lire : “L’AEFE fait reculer la démocratie dans ses établissements EGD” du 17 fev.2013). J’ai obtenu, début 2013, qu’un groupe de travail ad hoc lui soit substitué. Lire la suite de l’édito et découvrir l’HebdoLettre n°81
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