Merci au JDD pour sa publication, ce 11 mai.
L’affaire Ghosn démontre à l’évidence que notre diplomatie, qui s’est heureusement déployée sur le champ économique, doit se donner les moyens de défendre nos entrepreneurs lorsqu’ils sont pris dans les griffes d’une « justice de l’otage » pour reprendre l’expression des ONGs de défense des droits de l’Homme… et de l’ONU.
Lire aussi l’éditorial de mon HedboLettre 119 du 6 mai 2019. LIEN
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