Georges Dherlin est un Français qui a choisi de vivre au Costa Rica, mais son pays de cœur est la mer. Marin dans l’âme, lorsqu’il ne navigue pas il fabrique des bateaux.
Pour ce faire, Georges a fondé l’entreprise Apex, puis Sunset Eco Boatyard, un chantier naval au Costa Rica dont il est le DG. “J’ai la chance de vivre quotidiennement ma passion, grâce à laquelle j’ai l’honneur d’être chevalier du Mérite de l’Ordre maritime”, savoure-t-il.
Lorsque Georges pose son paquetage au Costa Rica il y a vingt-cinq ans, il se dit avec gourmandise que le pays offre un accès à deux océans à la fois : le Pacifique et l’Atlantique. Immédiatement, il s’attache à une “population affable et éduquée”, tout en développant ses activités d’entrepreneur à la faveur de la stabilité politique du pays.
La plus ancienne démocratie d’Amérique latine cherche aujourd’hui à dépasser l’étroitesse de son marché par des accords de libre-échange, dont “nous apprécions les retombées économiques, dit Georges, ainsi que la libéralisation progressive des monopoles étatiques”.
Et il n’aime rien tant que le souffle de la liberté ! C’est pourquoi il se trouve bien à bord de l’UDI, “promotrice de la libre entreprise, tout en respectant nos valeurs démocratiques”, juge-t-il.
Le rôle de délégué UDI-San José lui incombe parfaitement, parce qu’il a les pieds bien sur terre lorsqu’il s’agit d’aider les autres. Il fut, par exemple, à l’origine de la création de la section CCEF (Conseillers du commerce extérieur de la France) d’Amérique centrale / Panama. Une “section atypique” puisqu’elle regroupe six pays et dont Georges est “très fier d’avoir été le premier président”.