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Sénat – Institut français (IF) – Conseil d’administration

Un budget présenté pour la première fois en excédent, bien que la subvention soit diminuée de 5,5%.

J’ai assisté au conseil d’administration de l’Institut français, présidé par Eva Nguyen Binh, ce 26 novembre.

Dans son propos introductif, la Présidente a évoqué les grands enjeux et actualités de l’Institut français.

La baisse de la dotation de l’État sera de 5,5% en 2025 par rapport à 2024, soit une diminution de 1,75 millions d’euros.

Le projet immobilier, sur lequel la présidente avait engagé l’IF, a permis d’absorber la diminution des frais de fonctionnement.

Une réflexion stratégique a été engagée et la revue des programmes a été détaillée. Cela a permis de faire des choix et de ne pas diminuer le budget de l’ensemble des programmes.

L’IF solidifie sa structure et se met en condition pour bénéficier des fonds européens.

Au final, le budget initial de l’IF est présenté pour la première fois de son histoire en excédent. J’ai voté ce budget avec enthousiasme, en saluant le pragmatisme et la vision positive de l’équipe qui a œuvré pour ce résultat.

Institut français – Conseil d’administration

L’Institut français (IF) en mode start up.

À la faveur du conseil d’administration, ce 14 novembre, j’ai souhaité visiter les locaux occupés par l’IF. Le siège du 15eme arrondissement a été quitté pour cet espace de co-working, en attendant son installation dans ses nouveaux locaux définitifs début 2024, dans le 11ème arrondissement.

Eva Nguyen Binh, présidente de l’IF, a décidé d’optimiser l’espace en limitant à 90 places de travail pour 148 personnes employées par l’IF, sachant que beaucoup d’entre elles sont restées en télétravail.

L’IF occupe 1,5 niveau de l’immeuble.

Ces nouveaux locaux lui ont permis d’économiser un tiers du prix du précédent loyer. Les futurs locaux lui permettront à nouveau de réduire ce budget loyer d’un tiers. Ainsi lorsque l’opération “déménagement du siège” sera achevée, le passage du 15ème arrondissement au 11ème aura abouti à une baisse de moitié du prix du loyer. +d’images

Paris – Institut français – Conseil d’administration

Retour ce 24 novembre à Paris, entre deux déplacements au Qatar et en Côte d’Ivoire, afin de participer au conseil d’administration de l’Institut français, présidé par Eva Nguyen Binh, en présence de mes collègues Hadrien Ghomi, député et Hélène Conway-Mouret, sénatrice.

Lors de l’introduction, la présidente a rappelé les accomplissements et les principaux objectifs de l’Institut français.

Parmi les priorités en matière de débats d’idées :
➡️ le sentiment d’appartenance à l’UE ;
➡️ cycle de forum en Afrique : « Notre futur ».
Un programme commun IF/Business France pour soutenir le développement d’entreprises françaises à l’international est mis en place.
Premiers pays cible : Corée du Sud, suivi par le Canada.

Parmi l’ordre du jour, l’approbation :
➡️ Budget Rectificatif 2022 n°2 ;
➡️ Budget Initial 2023 ;
➡️ Présentation du contrôle interne budgétaire et comptable.

Paris – Institut français – 100 ans de diplomatie culturelle

À l’invitation d’Eva Nguyen Binh, présidente de l’Institut français, j’ai participé, le 21 juillet 2022, à la soirée des Ateliers de l’Institut français “100 ans de diplomatie culturelle”, en présence de la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak.

J’ai retrouvé de très nombreux conseillers culturels que j’ai eu l’opportunité de croiser aux 4 coins du monde.

Dans son discours, la ministre a incité les Cocac à se concentrer sur 2 ou 3 priorités, car une mission de 4 ans passe très vite. Rima Abdul Malak en parle en connaissance de cause, car elle a été attachée culturelle à New York.

Franco-libanaise, la ministre de la culture dispose d’une belle expérience de la culture à l’internationale. Elle a tour à tour dirigé les programmes de Clowns sans frontières et le pôle musiques à Cultures France.

Le duo formé par Eva Nguyen Binh et Rima Abdul Malak pour promouvoir la culture française à l’étranger est très convaincant. +d’images

Institut français – Conseil d’administration

Représentant du Sénat au conseil d’administration, j’ai interrogé la présidente de l’Institut français, Eva Nguyen Binh, sur les bénéficiaires du programme Relance Export.

Relance Export accompagne les projets des secteurs créatifs et culturel à l’international. C’est un appel à projets dédié aux professionnels, artistes, institutions, partenaires, français et étrangers.

Celui-ci accompagne à l’international les projets d’artistes, de professionnels français ou basés en France (métropolitaine ou ultramarine) ou d’institutions des secteurs créatifs et culturels.

Il concerne des projets nouveaux ou des projets qui ont été impactés par la crise sanitaire et ont été transformés.

En 2021, l’Institut a accompagné 80 projets sur 239 demandes pour un montant global de 500.000€.

Ceci témoigne de l’activité à l’étranger des acteurs français de la création artistique et des industries culturelles, malgré le contexte difficile et instable de l’année 2021.

J’ai demandé la liste des projets bénéficiaires en 2021 pour populariser ce dispositif et éventuellement ouvrir un nouveau programme à des mécènes désireux de soutenir cette remarquable démarche.

Un nouvel élan pour l’Institut français

L’unique point de l’ordre du jour de notre conseil d’administration du 12 janvier portait sur l’approbation du projet de nouvelle organisation de l’Institut français porté par sa présidente Eva Nguyen Binh.

Cette réorganisation me parait indispensable et conforme à la nécessité de piloter efficacement l’Institut français. Le nouvel organigramme qui nous a été soumis est une conséquence de la démarche qualité voulue par la présidente, au travers de l’adoption du projet d’établissement afin de donner un cap pour l’Institut français.

J’ai apprécié sa méthodologie :
1- Établir qui fait quoi.
2- Organisation en pôle de compétence pour atteindre des objectifs précis.
3- Mise en place d’une évaluation des projets pour mesurer les progrès et la pertinence des actions engagées.

J’ai salué la dynamique prometteuse proposée et apporté mon plein soutien à l’évolution de l’organigramme. Un nouvel élan pour l’Institut français qui mérite tous nos encouragements.

Entretien avec Eva Nguyen Binh, présidente de l’Institut français

Eva Nguyen Binh a été nommée présidente du conseil d’administration de l’Institut français lors du Conseil des ministres du 2 juin, succédant ainsi à Pierre Buhler. En qualité d’administrateur de l’Institut français, la perspective de siéger à ses côtés me ravit.

J’ai rencontré pour la première fois Mme Nguyen Binh à Phnom Penh en juin 2019, tandis qu’elle était ambassadrice de France au Cambodge (compte-rendu). Nous avons porté ensemble mon projet prioritaire pour le Cambodge qui consistait à soutenir la démarche d’Arnaud Darc qui a abouti à l’a création d’une Alliance française à Siem Reap.

Eva Nguyen Binh incarne à merveille la défense de la francophonie et de la culture française.

Le 22 juillet au Sénat, nos échanges ont porté sur la promotion de la langue française qui constitue un enjeu majeur pour l’Institut français. Elle partage mon ambition d’oeuvrer pour qu’un jour tous les enfants français nés à l’étranger parlent français. A ce titre, je lui ai fait part de mes diverses initiatives, comme la création d’un chèque Flam.

Cette rencontre a été l’occasion de rappeler qu’en 2022, l’Institut français fêtera son 100ème anniversaire.

Institut français – ma nomination au conseil d’administration

Très honoré de pouvoir contribuer ainsi à la promotion de la francophonie et de la culture française.

En application de l’article 9 de la loi n° 2010-873 du 27 juillet 2010 relative à l’action extérieure de l’État, la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat m’a désigné membre du conseil d’administration de l’Institut français.

Illustrations :
Pierre Buhler, Président d’Institut français ;
Institut français Phnom-Penh ; Sofia ; Riga ; Skopje ; Sarajevo ; Tel Aviv ; Djibouti ; Tokyo ; New-York ; Marrakech ; Oslo ; Athènes ; Alger ; Tunis ; Alexandrie ; Bucarest ; Douala ; Budapest ; Londres

PLF2021 / Débats – Gestion du Budget FLAM – Vidéo (3’15)

Pour favoriser le développement du programme FLAM, pourquoi ne pas confier la gestion du budget à l’Institut Français ? Sa mission est justement d’assurer la promotion de la langue française, en s’appuyant sur un réseau d’instituts français et d’alliances françaises bien plus développé et décentralisé que celui de l’AEFE, actuel opérateur, permettant ainsi de toucher davantage de familles.

Cette idée de bon sens est partagée par plusieurs sénateurs des Français de l’étranger.

Mon amendement fut l’occasion pour Jean-Yves Le Drian de marquer son attachement aux associations Flam et de rappeler les efforts budgétaires consentis, considérant ainsi que j’avais “été bien entendu”, puisque
– en 2020, le soutien exceptionnel au programme Flam a été de 250.000€ (doublement du soutien)
– en 2021, le budget Flam sera de 312.000€, soit une augmentation de 25% par rapport au budget antérieur (250.000€).

PLF2020 – Action Extérieure de l’État – FLAM – Vidéo (1:30)

Au cours des débats sur le projet de loi de finances, je défendu mon amendement (II-112) visant à transférer la gestion du budget du programme FLAM (français langue maternelle) de l’AEFE vers l’Institut Français.

En effet, c’est la vocation du réseau mondial d’Instituts français d’assurer l’apprentissage de la langue française, tandis que le rôle de l’Agence pour l’Enseignement français à l’étranger (AEFE) est de développer l’enseignement français.

De plus, le réseau des Instituts est bien plus développé et décentralisé que celui de l’AEFE. Il est donc en contact avec davantage de familles, dont beaucoup d’enfants français ne parlent pas notre langue.

Précisons bien que l’on ne “retire” rien à l’AEFE, car dans son budget figure déjà une enveloppe dédiée au programme FLAM.


Initié en 2001 par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), le dispositif FLAM (Français LAngue Maternelle) vise à soutenir des associations qui proposent à des enfants français établis à l’étranger, dans un contexte extrascolaire, des activités permettant de la pratique du français. Ce sont les fameuses “petites écoles du samedi”.

HEBDOLETTRE n°95 – Le contrat cadre expat’ en voie de disparition (édito) – Invitation au colloque hydro-diplomatie : Bassin du Nil (11 déc. 2017 au Sénat) – UDI : initiative #LaVilleAuxDames – Débat sur l’avenir de l’Institut français (Vidéo) – PLFSS 2018 / CSG-CRDS sur les non-résidents : le Sénat veut mettre fin à l’injustice fiscale (Vidéo) – PLFSS 2018 / Dividendes : pour l’égalité de traitement entre dirigeants d’entreprise (Vidéo) – En circonscription en SERBIE – Belgrade / 1-3 nov. 2017 – L’écho des circos septembre 2017 (Turquie, Andorre, Luxembourg, Liban, Finlande) – L’écho des circos octobre 2017 (Nelle Zélande, Chine, Finlande, Royaume-Uni, Pays-Bas).

Lire : l’HEBDOLETTRE n°95 – 30 novembre 2017Logo HebdoLettre bleu - Rond75

Edito de l’HebdoLettre n°95

Si la population française à l’étranger gagne quelques pourcents chaque année, le salarié expatrié, lui, est un spécimen engagé sur la voie du déclin. Une tendance qui a pris corps avec la crise de 2008 et qui conduit les entreprises à privilégier le “contrat local” à l’expatriation d’un cadre.

Un nouveau réflexe qui simplifie évidemment la vie des DRH, comme ils l’ont volontiers admis, le 28 novembre au Sénat, lors du colloque sur la mobilité internationale organisé par l’UFE-Monde.

Visuel HL94 D’autant que les services RH ont pour consigne de “chasser les coûts”. Pas de sous-entendu non plus en ce domaine. En effet, à la prime d’expatriation s’ajoute généralement l’accompagnement de toute la famille vers une nouvelle vie ou le “package” en jargon RH

“Un ingénieur à Bengalore vaut 465$/mois, souvent il a été formé à l’étranger et… sa femme est sur place”, illustre Jean-François Rieffel de l’APEC. “La question se pose aussi à Londres ou Miami : pourquoi les Français seraient-il payés davantage que les locaux, souvent plus efficaces sur leur marché ?”, lance le DRH d’un groupe aéronautique qui gère plus de 500 salariés expatriés. Lire la suite et découvrir l’HebdoLettre n°95

Sénat – Débat sur l’avenir de l’Institut français (Vidéo)

Lors du débat consacré à l’avenir de l’Institut français, le 21 novembre, j’ai demandé à Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, s’il pouvait envisager de créer une nouvelle priorité dans le programme 185 en fixant pour objectif d’apprendre notre langue à tous les enfants français à l’étranger ?

En effet, seuls 25 % enfants français vivant à l’étranger sont scolarisés dans notre réseau d’enseignement français. Et la pratique de notre langue se perd largement chez les autres.

Pourquoi ne pas créer un “chèque-éducation” destiné à 100% de nos jeunes compatriotes vivant à l’étranger pour l’apprentissage du français, au travers des Instituts français, des Alliances françaises, du CNED, sans oublier les associations FLAM ?

Un contrôle régulier (grâce au passage du DELF) nous permettrait d’évaluer leur maîtrise de la langue.

“Vous êtes assurément disrupteur”, m’a répondu le ministre.

Alors, soyons disruptifs ensemble !

VIDÉO : ma question & la réponse du ministre Jean-Baptiste Lemoyne ou lire les débats.